Esclavagisme 1

rreur que s'était faite capturée stupidement par des esclavagistes. Zohra entendit alors gémis près de la tente, elle ce douta que le prisonnier devant elle sera le prochaine article. En effet, aussitot la tenture s'ouvrit et une sorte de grosse personne grace a visage porcin pris la barre de métal se trouvant près de l'esclave et le tira à l'éxterieur sans ménagement. D'après le bruit, la victime était un cyborg. Le temps que la tenture ce referme, Zohra entendit l'homme clammer haut et fort

"Lot numero 13, un cyborg de combat à 125 goldc c'est une excellente affaire, puisqu'il viens d'etre hélas, endommagé il y a peux."

Aussitot une voix bourgeoise cria un "CENT TRONTE SONQ COLD!!!"

"CENT TRENTE CINQ GOLD, A LA CHARMANTE DAME AU CHAPEAU UNE FOIS, CENT TRENTE CINQ GOLD A LA DAME AU CHAPEAU DEUX FOIS..."

"300 GOLDS!!"

La foule poussèrent un HOOOO car celon eux il fallait être fou pour acheté une antiquité, un cyborg mourrant a un prix si élevé. Lemaitre de cérémonie pris un plaisir sans pareil et claqua trois fois sur le table avec son maillet

"ADJUGER A L'HOMME FOU LAS BAS!!!"

La tenture s'écarta de nouveau et l'homme porcin fit un rire a Zohra qui pesta comme un félin contre lui, elle recut une grosse claque sur la figure. Sonnée pendant quelque secondes, l'homme en avait profité pour la tiré en dehors de la tenture et la faire monté en haut des marches.

"HOHOOOOOOOOO, UNE FELINE REBELLE!!!! Je suis sur au lit elle sera un trop bon coup!!! voici MESSIEURS le lot 14!!! une Kemono Toda!!!! nous en demandons 350 golds!!!!"

Zohra déglutit, son sort été maintenant scéllée, d'un coté sa l'arangeait, ne sachant pas qu'elle est vampire psychique, elle pourrait si elle tombe sur un méchant maitre ou maitresse le tuer sans que ce dernier s'en appercois.

Les enchères s'enflamèrent et arrivèrent rapidement a 600golds qu'un vieu grand père voulait accquérir, sans doute pour réalisé un dérnier fantasme avant que ses vieu jours prennent fin.[/color]
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Les mains dans les poches, Amerigo marchait à travers le marché d'un méfiant. Il n'aimait pas être ici, à la capitale de Jigoku. Etant de l'archipel dissidente d'Akuma, il vouait une grande haine au habitants de Jigoku. Cependant, il était obligé de venir ici pour faire son rapport aux autorités concernant sa recherche des plumes d'Hane. En effet, il devait ramener les plumes qu'il trouvait à travers le monde pour que l'armée du continent veuille bien libérer ses trois frères.

Suite à une réunion plus qu'ennuyant pour lui, il décida prendre le chemin du port pour quitter cet endroit. Son chemin devait obligatoirement passer par le grand marché de la capitale. Bien sûr les marchandises que proposait ses ennemis ne l'intéressait pas sauf, peut-être, un étale bien précis. C'était un esclavagiste qui vendait ses produits aux enchères. Normalement, il s'en fichait mais là, l'esclave qui était entrain d'être vendu attira son attention. C'était une kemono, elle était très jolies et semblait ne pas vouloir terminer comme le jouet sexuel d'un vieillard. Sentant son esprit chevaleresque prendre le dessus, Amerigo voulu participer aux enchères. Cependant, elle valait déjà 600 golds et le cyborg était loin de posséder une telle somme. Il décida donc de changer de tactique. Il fouilla dans sa sacoche et sortit une plaque argentée qu'il avait modifié pour qu'elle ressemble à l'insigne de l'armée de Jigoku. D'un pas sur, il monta sur l'estrade de présentation, se faisant tout de suite interpelé par l'esclavagiste :

"Eh vous ! Vous n'avez pas le droit de monter ici !"
"Silence insolent !" dit-il froidement en collant sa fausse insigne sous le nez de son interlocuteur. "Je suis un agent des services sanitaires de Ryuuketsu ! Je suis là pour vérifier vos marchandises!"

Le cyborg n'aimait pas parler de marchandises quand il s'agissait de belle femme, mais il se forçait pour son rôle. De son côté, l'esclavagiste s'excusa et s'écarta pour le laisser passer. Amerigo s'approcha du kemono et lui attrapa le menton. Tel un médecin, ou plus un vétérinaire, il observa les dents, le mouvement des yeux, l'intérieur des oreilles et, en bonus, la fermeté de la poitrine du kemono. Cela ne faisait pas seulement partit de sa comédie, il lui permettait aussi de découvrir la malédiction et ses pouvoirs. Grâce à ses observations et ses connaissances, il comprit qu'elle manquait régulièrement de mana et que son organisme ne semblait pas en créer. D'un geste fluide, il saisit la corde entourant le coup du kemono et lui murmura à l'oreille :

"J'espère que tu es en état de courir."
"Que se passe t-il, monsieur l'agent ?" demanda l'esclavagiste.
"Eh bien, il semblerait que ce produit est attrapé une maladie terriblement contagieuse. Je vais l'emmener à la base de ce pas !"

Inutile de préciser que le public assistant à la scène paniquèrent et se mirent à courir dans tous les sens. Profitant du bordel qu'il avait engendré, Amerigo tira le kemono par la corde et fuit le plus vite possible à travers la foule en déclarant.

"Si on s'en sort vivant mademoiselle, vous aurez une dette envers moi. Au fait, moi c'est Amerigo."

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Zohra tira violement sur son pied mais le mucus était bien trop filandreux, bien trop gluant pour être arraché comme ca, Zohra réfléchi a un pouvoir qui pourrait l'aidé a sortir de se mucus malheureusement elle ne possèdais aucun sort pour durcir le mucus ou pour détruire les molécules. Elle glappit alors de tristesse grattant frénétiquement le sol pour trouvé une prise avec laqu'elleelle pourait peux être sortir son pied de la.
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Tandis que les deux fuyards courrait à perdre haleine, Amerigo n'entendit pas ce que disait le kemono, par contre il entendait bien l'esclavagiste lancer son homme-porc sur eux. La bête s'appelait Holong, ce nom rappelait vaguement quelque chose au cyborg. Il n'eut pas le temps d'y penser quand il sentit le bout de la corde qu'il tenait la retenir. Il stoppa brusquement et vit la kemono à terre, un pied enfoncé dans une matière filamenteuse et gluante. Amerigo aurait bien aimé voir ça de plus près, mais l'auteur de cette substance lui arriva dessus à toute vitesse. Lorsqu'il fut tout prêt de de lui, le cyborg décrocha calmement l'insigne de son blouson et il le jeta en direction du monstre. Par réflexe, ce dernier le rattrapa. Amerigo tendit alors son index vers le front de son adversaire en disant :

"A lala, les réflexes, des fois ça te sauve la vie, des fois ça te la retire. [Mizu Yari]"

Soudain, un jet d'eau de plus de 500 bars sortit du doigt du cyborg et traversa le crâne de l'homme-porc comme du beurre. En quelques secondes, le monstre s'effondra, mort. L'esclavagiste regarda sa créature à terre avec une certaine tristesse. Mais très vite, cette tristesse se transforma en rage. Il mit la main à sa ceinture et dégaina un gun. Rapidement, il tenta de viser le scientifique. Cependant, il tomba face à face avec un gun implanté dans le poignet de son adversaire. D'un ton toujours aussi calme, celui-ci déclara :

"Ecoute, ton acolyte est mort. Tu n'as plus rien à faire ici, alors va-t-en."
"ENFOIRÉ ! Tu crois que je te laisser partir avec ce qui m'appartient ?"
"T'en fais pas, j'allais le laisser ici le cadavre de ton homme-porc."
"CRÈVE TÊTE DE MORT !"

Tout à coup, l'homme tenta de pointer son arme vers Amerigo. Mais ce dernier, énervé qu'on se moque encore du morceau de mâchoire qui était par dessus sa peau, tira le premier. Une balle de mana frappa l'esclavagiste en pleine face, lui faisant sauter la boîte crânienne. Après que son adversaire s'écroulait sur le sol, Amerigo soupira et se dirigea vers la kemono qui se débâtait encore pour sortir de son piège. Il s'accroupit près du pied et observa la matière organique. Puis en utilisant la Mizu Yari comme un couteau, il trancha le piège. En relevant la jeune kemono libérée, il dit :

"Bon ben ça fait deux dettes envers moi. Allez dépêchons-nous avant que les vrais policiers arrivent et découvre le carnage."

"FOUTU homme porc" ce dit la kemono en tentant d'enlevé son pied englué tirant plus fort, tout ce qu'elle avait réussi a faire été de ce faire arracher un cris de douleur. Elle regarda alors Armigo qui était seul contre les monstres. Elle fut surprise que l'homme semblait attiré par cette mixture gluante.

"Pardon de dérangée mais si tu veux que je paye ma dette, sauve ta vie Armigo."

La kemono qui parla pour la première fois baissa ses oreilles, elle avait aussitot regretté d'avoir si mal parlé a son protecteur mais elle n'avais pas réfléchi sur le moment.

Elle constata que l'homme était pas dutout distrait contrairement a ce qu'elle pensais et elle comprit qu'il été juste un peux prétentieux sur les bords. Elle fut également surprise par l'ingéniosité du cyborg, en effet il avait distrait le porc en lui lancant un objet pour ce préparer a l'attaque, même elle ne serait pas tombé dans un piege aussi grossier.

"A lala, les réflexes, des fois ça te sauve la vie, des fois ça te la retire. [Mizu Yari]"

Zohra vit un jet d'eau partir du corp du cyborg, de la ou elle été, elle n'été pas sur de l'endroit où avait surgit l'eau mais le jet devait etre d'une puissance phénoménale, car ayant visé la figure du porc, il lui traversa le crane comme un couteau aurait pu traversé une feuille de papier.

"Il m'est de plus en plus simpathique.... je sais pas qui il est reelement mais franchement chapeau...."

Elle n'avait pas fini sa pensée que l'esclavagiste, poussa un cris de colère et sorti un joli gun. Aussitot son héro en sorti un, elle fut alors ravis d'assissté à une sorte de western du futur, sauf que la les armes été sorti il ne restait plus qu'a déclenché le mécanisme....

Le temps semblait lourd, les hommes se fixait du regard puis Armigo pris la parole essayant de déstabiliser son adversaire, encore une fois Zohra fut étonné par son stratagème, il était un vrai chef de guerre.

"Ecoute, ton acolyte est mort. Tu n'as plus rien à faire ici, alors va-t-en."
"ENFOIRÉ ! Tu crois que je te laisser partir avec ce qui m'appartient ?"
"T'en fais pas, j'allais le laisser ici le cadavre de ton homme-porc."
"CRÈVE TÊTE DE MORT !"

Zohra appris a se moment la que son sauveur était en plus d'un prétentieux, très suceptible, sa malédiction lui permettait de sentir les fluctuations de mana, et Armigo semblait vouloir concentrer une grosse quantité en un coup.

"Ca suceptibilité le perdra un jour.... il est inutile d'utilisé autant de mana pour tuer un minable pareil, il est fou.....rhaaaa IL ME DONNE FAIM EN PLUS avec tout son mana!!!!"

Armigo fut le plus rapide et décocha une balle de mana en plein visage de son énnemi lui faisant sauter la boîte crânienne.

Après que son adversaire s'écroulait sur le sol, la Kemono vit Armigo venir vers elle, elle espérait qu'il pourait l'aider a retirer son pied de ce piege infernal, elle se débâtait encore pour sortir de son piège.
Zohra fut ravis de voir que l'homme
s'accroupit près du pied et observa la matière organiqu, en
utilisant la Mizu Yari comme un couteau, il trancha le piège.

"MERDE dans la précipitation j'ai pas pensée a utilisé l'un de mes couteaux de lancée comme couteau pour me libérer...."

Armigo, en
relevant la jeune kemono libérée, lui dit :

"Bon ben ça fait deux dettes envers moi. Allez dépêchons-nous avant que les vrais policiers arrivent et découvre le carnage."

Enfin reposée, la neko put lui répondre a loisir

"Je m'appelle, Zohra, Zohra Flear, merci de ton aide, je suis une kemono de parole, je te dois la vie, je te suivrait tend que je le dois pour épongé ma dette, MES dettes et se sera avec plaisir. Demande ce que tu voudras tu l'obtiendras."

La kemono, cette fois sans corde qui l' étranglais et reposée, malgrès son pied endoloris ce mit le dos courbé en avant et courait presque a quatre pattes, sa vitesse maxximale, elle suivit le cyborg et fut étonné de sa lenteur, finalement elle décida de ralentir sa vitesse pour ce copier a celle de son ami.

Une fois libérée, la jeune kemono se releva et se présenta à Amerigo. Elle s'appelait Zohra. Le cyborg pensa que ce prénom lui allait bien. Il entendit ensuite quelque chose d'inattendu. Il pouvait lui demander tout ce qu'il voulait jusqu'à ce qu'elle épongé ses dettes. Il était surprit, il avait parlé de ça en plaisantant. Mais il n'allait pas pour autant laisser passer cette occasion. Il réfléchit alors en courant derrière la jeune femme. Au détour d'une ruelle, il se souvînt d'une chose qu'elle lui avait dit durant le combat. Il déclara alors :

"Ben pour commencer, j'aimerais que tu n'écorche pas mon prénom, c'est AMERIGO, par Armigo, à la rigueur tu peux m'appeler, Ame-chan ou Amerigo-sama, ça ne me dérangera pas. Seconde chose, comme tu as dut le remarquer en tant que combattante, je suis nul en combat. En fait, je suis un scientifique. Mon domaine c'est la mécanique, pas la baston. Donc si tu pouvais bien me servir d'assistante et de garde du corps, j'en serais ravi."

Bien sûr, le cyborg avait remarqué que la jeune kemono était sur armée. Il en déduit donc qu'elle devait être une maître d'armes ou une guerrière. De plus, les fioles de mana qu'elle transportait avec elle laisser confirmer les hypothèses qu'il avait fait un peu plus tôt. Si elle son organisme ne pouvait fabriquer par lui-même, Cela expliquait les fioles et aussi ça contre performance dans le combat qui venait juste de se finir. En effet, elle devait commencer à en manquer. Soudain, Amerigo fût tiré de ses pensées quand le duo arriva dans une impasse. Il la regarda Zohra qui était encore devant lui, puis il applaudit ironiquement :

"C'est bien la peine de courir devant si c'est pour nous mener dans un cul de sac."

Le cyborg tourna sur lui-même et remarqua que, malgré le fait qu'il soit coincé, l'endroit était plutôt bien retirer. C'était une petite impasse comme en trouvait souvent entre deux ou trois maisons isolées. Elle sentait le vomis et des poubelles étaient renversées par terre, cependant ces mêmes poubelles offraient une excellente cachette. Il se dirigea vers l'une d'elle et s'accroupit derrière. Il fit ensuite signe à la jeune kemono de le rejoindre. Puis il lui demanda enfin :

"Bien si nous restons tranquille pendant quelques heures, l'armée arrêtera ses recherches. En attendant, si on parlait plutôt d'autres choses. Ton corps, ne peux fabriquer de mana, n'est ce pas ? Tu as un autre moyen d'en avoir à part en te baladant avec ses fioles ?"

Zohra regardait "son amie" avec grande attention, il la regardait lui aussi cherchant ce qu'il pourrait et voudrait obtenir en échange des dettes de Zohra. Il fut en premier lieu surpris de la proposition de la femme qui n'avait pas comprise que l'homme rigolait. L'homme réfléchit longuement et dit

"Ben pour commencer, j'aimerais que tu
n'écorche pas mon prénom, c'est AMERIGO, par Armigo, à la rigueur tu
peux m'appeler, Ame-chan ou Amerigo-sama, ça ne me dérangera pas.
Seconde chose, comme tu as dut le remarquer en tant que combattante, je
suis nul en combat. En fait, je suis un scientifique. Mon domaine c'est
la mécanique, pas la baston. Donc si tu pouvais bien me servir
d'assistante et de garde du corps, j'en serais ravi."

La femme prit une moue désolé et lui répondit

"Amerigo je suis navrée de cette confision j'avais mal saisit ton prenom....Bien je t'appellerait donc Arm-chan. Je suis étonnée sinon, tu peux avoir tout ce dont tu désir, et tu choisi une assisstante?, soit miss comme vous voudrez, vus l'avez."

"Qu'elle sens de l'observation.... il sait que je suis une combatante....peux etre même qu'il a remarqué mes fioles de mana alors? MERDE!!!! j'aurais du être plus attentive alors!"

"Grrr je m'affaibli.... faut que je trouve une victime et vite!!"

Zohra se senti de plus en plus mal, ca tete commencait a lui tourner mais rien de grave pour le moment mais c'etait la le signe de sa carece en mana.Sa tête a vrai dire lui tourna depuis qu'elle été prisonnière des marchands d'esclaves. Sans doute pour ca qu'elle n'avait pas pensée a utilisé ses couteaux de lancer comme des dagues.

Zohra affaiblit ne vit pas par ou elle passait luttant pour ralentir sa perte de mana, d'aileurs elle courrait de moins en moins vite et était a se moment la a la meme vitesse qu'amerigo. Elle le conduisit malgrès elle vers une impasse. Il la
regarda Zohra qui était encore devant lui, puis il applaudit
ironiquement :

"C'est bien la peine de courir devant si c'est pour nous mener dans un cul de sac."

Zohra stopa sa course, son front était légèrement humide, elle qui d'habitude ne suait jamais ou qu' aprés de gros efforts. Son combat contre le gros porc et ses acolytes, lors de sa capture lui avait vidée de ses forces. L'avantage c'est qu'elle ne fitp as attention ni à l'odeur ni où elle était. Elle vit le cyborg lui faire signe, sans réfléchir elle ce dirigea vers l'endroit désigné, elle n'avait plus de goût a rien tenant inutilement de cacher son état de fatigue.

"Bien
si nous restons tranquille pendant quelques heures, l'armée arrêtera
ses recherches. En attendant, si on parlait plutôt d'autres choses. Ton
corps, ne peux fabriquer de mana, n'est ce pas ? Tu as un autre moyen
d'en avoir à part en te baladant avec ses fioles ?"

Zohra ce pencha sur le coté surprise qu'il ai tout deviné aussi aisement. Elle ne lui répondit rien car elle été trop fatiguée d'une part et que ca ne servait plus a rien de faire la commédie, ca allait la tuer. Elle pris l'une de ses fioles, enleva le bouchon, et bus son contenu. Zohra poussa un grand HAAAAAAAAAAAAAAA de satisfaction. Si il étaient la pour quelques heures, se serait parfait le temps que sa fiole fasse son efet et que son corp absorbe le mana pour se revigoer. Elle n'avais plus besoin de répondre a Amerigo qui avait en toute logique recus ses réponses.

Alors qu'Amerigo surveillait les alentours de la ruelle afin de vérifier que personne ne les surveillait, il écoutait ce que Zorha. Il pensait qu'elle avait une fort jolie mais il se disait aussi qu'elle devait avoir des problèmes d'oreilles :

"J'ai dit AME-chan, pas Arm, laisse ce r tranquille. Je ne t'appelle pas Piou-piou moi, sauf si ça te plait.."

Tandis qu'il semblait s'énerver pour des détail, le cyborg remarqua que la jeune kemono se sentait de plus en plus mal. En la voyant presque s'effondrer, il voulut la rattraper mais il tint le choc. Elle attrapa l'une de ses fioles et la bu cul sec, poussant ensuite un cri de soulagement. Cela confirma une nouvelle fois l'hypothèse sur la carence en mana dont elle souffrait. Cependant, le cri fit réagir Amerigo au quart de tour. Afin s'éviter que des passants les remarques, il plaqua sa main sur les douces lèvres de Zorha et positionna son autre index contre sa bouche :

"Chut. Tu vas nous faire repérer. En tout cas, il faudra que tu m'explique si tu as un autre moyen de récupérer du mana que ses fioles. Un jour, il faudra que tu me dise combien de temps peux-tu tenir en buvant une fiole ?"

Passant la tête vers l'extérieur de l'impasse, le cyborg vérifia que personne ne les regardait. Tout en faisant ça, il fit inconsciemment glisser sa main qui était sue la bouche de la kemono. Il la fit descendre jusqu'à la poitrine de la jeune femme et et commença à la palper. Tout en regardant aux alentour il dit d'un air très sérieux :

"C'est bien ce que je pensais..."

Alors qu'on pouvait croire qu'il parler de la situation dans laquelle se trouvait le duo. Il se tourna vers Zorha avec une goutte de sang tombant d'une de ses narines et des yeux de pervers. Il continua alors sa phrase toujours aussi sérieusement :

"...Tes seins sont des naturels. Leurs fermetés ne trompe pas."

S'attendant à recevoir une correction monumentale, le scientifique ferma les yeux et sera les dents, même celle qui était à l'extérieur de sa mâchoire.

HRP : Désolé pour cette courte réponse, mais j'essaierai de rattrapper au prochain^^'

"J'ai dit AME-chan, pas Arm, laisse ce r tranquille. Je ne t'appelle pas Piou-piou moi, sauf si ça te plait.."

Zohra le fixait d'un air éssoufflée et mal en point ayant a peine la force de sourire, malgrès son mal, elle essaya de gardée une mine neutre ne voulant pas faire voir au mage qu'elle souffrait.

"Hahaha, piou-piou.... pardon AME-chan j'avait mal saisit...."

Zohra ne voulait pas que l'homme sache pour son secret, alors elle résista a sa douleur et à son besoin de mana, elle ne voulaitp as que Ame, puisse utiliser ce moyen de préssion contre elle mais elle s'appercut qu'il la regardait avec gravité, sans doute s'etait t'elle finalement trahi, elle fixait Ame et la poubelle d'un air absent, comme si son esprit s'échappait de son corp, ne manquant pas de tomber, elle décida finalement de s'assoir pour préservée le peux de mana qui lui restait, elle puisait dans ses dérnière reserves. Sachant que la lutte est vaine, elle préfèra trahir son secret et rester en vie. Elle déboucha l'une de ses fioles et bus le contenu, aussitot une douce chaleur envahi Zohra, comme un délicieux marie Brisard, la jeune femme ce régalait de se divin digestif, aussitot son corp ce remit a se réchauffer elle se rendit compte que son corp s'était même refroidit parce que la mort la guêtait.

Elle sourrit en poussant un cris d'extase, elle ce mit alors a rire toute seule comme un folle tellement le bonheur la submergeait. Aussitot un main ce plaqua sur ses lèvres étouffant son rire, Zohra ne ce controlait plus, peux à peux elle reprit le dessus et repris ses esprits.

Amerigo mit snon doigt a ses lèvres et dit

"Chut. Tu vas nous faire repérer. En tout cas, il faudra que tu m'explique si tu as un autre moyen de récupérer du mana que ses fioles. Un jour, il faudra que tu me dise combien de temps peux-tu tenir en buvant une fiole ?"

Zohra ne rigolait plus.... Amerigo avait tout deviné sur elle, pourtant elle, elle ne savait rien sur lui sauf qu'apparement il était gunner, mage noir et scientifique.... elle ce controla poussant le bras d'Amerigo et lui dit

"Ca va mieux merci.... oui pas de soucis si tu le désirs je te raconterai.... peux etre ta science pourrait mettre au point des fiols à mana plus performante, où me guerrir, si tu souhaites savoir comment je m'abreuve de mana, je veux bien te faire une démonstration..... PERSONNEL.... mais pas içi ca risquerai d'etre trop une mauvaise idée on risquerai de ce faire prendre crois moi...."

Elle n'avait pas fini sa phrase que l'homme retira sa main du mur et la plaqua contre la poitrine de la Kemono qui ne savait pas quoi faire, elle lui avait proposée d'etre son esclave en temps que tel elle devait se laisser faire, d'un autre coté l'homme ne réclama seulement une assisstante, Zohra avait donc gardée sa liberté. L'homme qui fit comme ci rien était n'auta pas sa main, il fit semblant d'etre rassuré et dit

"C'est bien ce que je pensais..."

Zohra pencha sa tête sur le coté comme le ferait un animal intrigué qui voulait dire

"Qu'est ce que tu racontes?"

L'homme semblait la comprendre car il dit

"...Tes seins sont des naturels. Leurs fermetés ne trompe pas."

La kemono, sachant qu'elle n'était pas une esclave mais seulement une assisstante, ce permis d'écarter sa main pour le giffler toute griffe dehors mais sa main cogna contre la baine. Ils entendirent un bruit comme si quelqu'un sautait de la baine a ordure. Un chat qui dormait juste la ce leva d'un bond et regardait les deux être qui se chamaillaient, le chat mécontant d'avoir été reveiller, bomba le dos d'un air menacant, ouvrant sa gueulle ce faisant le plus menacant possible

"PFFFFFFFFFFFFFFFT"

Zohra le regarda, bombant elle aussi le dos et le torse, elle regarda le chat d'un air hystérique et lui répondit

"GROAAAAAAAAAAARRRRRRRRRRRRR"

Le chat fit un tête d' ahurit et pris peur se sauvant dans la rue. Zohra ce dit qu'elle avait peux être été un peux fort et put entendre un enfant dire a sa mére

"MANMAN, MANMAN ta entendu?"

"quoi donc endrew?"

"Ya un monstre las bas j'ai peuuuuuuuuuuur"

"mais non maman est la ne tend fait pas..... viens partons....."

Zohra entendit dans la voix de la mére un soupcons de terreur, si elle prevenait les autorités ils auraient facilement fait de les retrouver. Zohra a son tour plaqua sa patte sur la figure d'amérigo.

"Nous devons partir tout ce suite.... je le crains, nous devrions jep ense passé par le toit, maintenant que je me sens mieux, nous devrions passé par l'échelle de secours et voyager de toit en toit si on peux, tu en dit quoi?

Tout en fixant une echelle de secours d'un air malicieux.

HRP : Pas grave tu fais comme tu peux, en meme temps dans la ruelle il y a plus grand chose a dire sois on ce casse de la, sois on fait intervenir une patrouille.... mais faut qu'on bouge de la ^^

Alors qu'Amerigo avait les yeux fermés, attendant la baffe qu'il allait recevoir, il entendit un bruit métallique à côté de lui. Tout en restant sur ses gardes, il ouvrit un œil et vit un petit chat sortirent de la benne à ordure derrière laquelle ils étaient cachés. Il s'approcha du duo, bomba le dos, hérissa ses poils et fit un bruit caractéristique d'un félin en colère. Il souffla alors, ce n'était qu'un simple chat de gouttière après tout, rien de quoi alerter les passants...

"GROAAAAAAAAAAARRRRRRRRRRRRR"

Tout à coup, le cyborg se tourna vers sa nouvelle assistance. Comme il aurait dû le craindre, elle avait prit une posture similaire au chat et comme tout demi félin qui se respecte, elle répondit à la menace par une menace plus puissante, trop puissante. Sans réfléchir, Amerigo plaqua ses deux mains sur la bouche de Zohra, mais c'était déjà trop tard. En effet, une mère et son enfant avait entendu le cri. Il s'enfuirent alors très rapidement, sûrement pour aller prévenir les autorités. Sentant ses espoirs de discrétions partirent avec ces gens, le scientifique se tourna vers son assistante et lui jeta un regard noir. Il n'était vraiment pas content que l'instinct primaire du kemono leur coûte cette cachette. La jeune femme lui posa une de ses pattes sur le visage et tenta de se rattraper en désignant un endroit de fuite approprié, à savoir une échelle de service menant au toit d'un des bâtiments. En guise de réponse, il retira la main du kemono de sa tête et il dit d'un ton glacial :

"J'en dit que ton idée est mauvaise, utiliser cette échelle est une perte de temps considérable. Que fera-t-on si les policiers arrivent alors qu'on monte à l'échelle et décide de nous tirer dans le dos ? Mais j'ai une autre idée, accroche-toi à mon épaule et ne la lâche sous aucun prétexte."

Sur ces mots, il attendit que Zohra pose sa patte sur son épaule avant de commencer un étrange rituelle. Il plia légèrement les jambes. Ensuite, il ouvrit deux fermeture éclair située sur chaque cuisse de son pantalon. Il mit les index à l'intérieur de ses poches et déclara presque mécaniquement :

"Technique d'évacuation d'urgence : enlèvement des goupilles de sécurité."

Il tira alors deux goupilles à l'aide de ses index. Un léger filet de vapeur s'échappa alors des parties mécaniques de ses jambes. Rapidement, il continua son énoncé :

"Mise en place du flux de mana."

C'est alors qu'un bourdonnement sourd s'échappa des jambes du cyborg, augmentant, par la même occasion, la densité de vapeur s'en échappant. Il plia ensuite les jambes jusqu'à être quasiment accroupi. Il vérifia ensuite que sa nouvelle assistante était toujours bien accrochée à lui avant de dire :

"Libération de la vapeur sous pression dans, 3....2....1....[Cyborg Jump]"

Soudain, d'énorme jets de vapeur sous pression s'extirpèrent du pantalon. Elles enclenchèrent des ressorts qui déplièrent les jambes à une très grande vitesse. Ainsi, Amerigo et Zohra sautèrent à une hauteur pour le moins hors du commun. En effet, ils étaient maintenant à plusieurs dizaines de mètres au dessus des toits avoisinant l'impasse. Comme la kemono avait une partie féline, le cyborg savait qu'elle n'aurait aucun problème pour l'atterrissage sur les tuiles glissantes. Quant à lui, il faisait confiance à la résistance de ses jambes mécaniques et à sa chance. En quelques secondes, il redescendirent sur un toit non loin du lieu de décollage. Cependant, Amerigo atterrit sur le rebord de la toiture, manquant de tomber. Après une séance de brassage d'air avec les bras, il réussit à se remettre en équilibre. Il remit ensuite les goupilles à leur place et se tourna vers la kemono en souriant :

"Alors ? Comment as-tu trouver le voyage ? J'ai encore du mal à doser la puissance pour sauter moins haut mais avec quelques autres essais ça devrait marcher comme sur des roulette."

Fier de lui, le scientifique regarda autour de lui. La hauteur du toit lui permettait d'avoir un panorama idéal sur toute la ville. Lorsqu'il vie le port, il s'arrêta et le montra du doigt en déclarant :

"Allons là bas, on trouvera peut être un bateau pour nous faire quitter cette île démoniaque."

Zohra pris un air de chatte battu quand elle vit la réaction d'Amerigo suite a son altercation de félin, elle meme elle ne sais pas ce qui sais passé, elle avait tout fait pour ce controler, pour garder le dessus sur son coté animal mais elle avait cette fois échouée, au pire moment en plus.

Amerigo plongea ses mains sur la gueule de Zohra qui ne l'empécha pas d'hurler à la mort, elle ne voulait plus que ce chat l'insulte de salope, les animaux été inférieur a elle, elle n'avaitp as a se faire rabaisser comme ca par un vulgaire chat de goutière.Le scientifique se tourna vers son assistante et lui jeta un regard
noir. Tout ce qu'elle avait trouvée a dire pour ca déffense était

"Ben quoi, il ma traiter de salle garce..... j'allais pas laisse cette affront impunis..... pardon...."

A peine avait t'elle fini sa phrase que la Kemono lui posa une patte sur les lèvres et lui montra son idée, mais son idée fut acceuilli avec un rejet catégorique qui lui fit mal au coeur. L'homme impartial rajouta ceci:

"J'en dit que
ton idée est mauvaise, utiliser cette échelle est une perte de temps
considérable. Que fera-t-on si les policiers arrivent alors qu'on monte
à l'échelle et décide de nous tirer dans le dos ? Mais j'ai une autre
idée, accroche-toi à mon épaule et ne la lâche sous aucun prétexte."

Zohra le regarde perplexe

"C'est encore une de tes idées de gros porc non....?"

Voyant que l'homme avait l'air sérieux, elle fini par obéir. Elle vit le cyborg plier légèrement les jambes. Ensuite,
il ouvrit deux fermeture éclair située sur chaque cuisse de son
pantalon. Il mit les index à l'intérieur de ses poches et déclara
presque mécaniquement :

"Technique d'évacuation d'urgence : enlèvement des goupilles de sécurité."

Zohra ne sachant pas ce qui ce passerait, préféra a le sérrer d'avantage qui a l'étrangler légèrement. Le robot tira alors deux goupilles à l'aide de ses index. Un léger filet de
vapeur s'échappa alors des parties mécaniques de ses jambes.
Rapidement, il continua son énoncé :

"Mise en place du flux de mana."

Au mot "MANA" Zohra resentir un frisson de plaisir, mise a pars les caresses d'une femme, ce qui lui fit le plus d'effet était de loin le gout du mana, a chaque fois c'etait comme si un vent chaud la réchauffersans la bruler, comme si elle mangeait sans avoir de mal de ventre, le mana était pour une la source par excellence.

A peine a t'elle eu le temps de ce remettre de ce plaisir qu'un bourdonnement sourd s'échappa des jambes du cyborg.
Il plia ensuite les jambes jusqu'à être quasiment accroupi. Zohra attendit et remarqua que l'homme semblait attendre quelque chose, elle décida de se sérrer un peux plus contre lui et fini par le sérer au cou légèrement avec ses bras et de passer ses jambes comme une ceinture autour de la taille du cuborg le serrant de toute ses forces. Apparement satisfait, l'homme continua son monologue étrange.

"Libération de la vapeur sous pression dans, 3....2....1....[Cyborg Jump]"

Soudain,
d'énorme jets de vapeur sous pression s'extirpèrent du pantalon. Zohra senti soudain comme une poussée, instinctivement elle resserra son étreinte au maximum cherchant a peine a être docile avec l'homme. Ainsi, Amerigo et Zohra sautèrent à une hauteur pour le moins
hors du commun.

Zohra qui ne voyait plus rien était pourtant, accrochée au scientifique à plusieurs dizaines
de mètres au dessus des toits avoisinant l'impasse. Soudain la vitesse et la préssion ralentissa, malgrès son manque d'air a travers les nuages, Zohra admira le magnifique soleil, elle se croyait dans un autre monde, un monde fait de mousse, tout était si beau, ses yeux s'écaquillèrent, elle poussa un grand ronronnement de bonheur, ils étaient tout deux en appeusanteur durant quelques seconde, mais ses secondes ci s'inscrivirent dans la mémoire de la jeune Tora et fort probable que jamais plus ele ne l'oublierais.

Le spectacle était si magnifique qu'elle ne fit pas attention qu'ils s'enfoncèrent peux a peux dans les nuages mousseux, gagnant en vitesse, heureusement Amerigo avait visé un toit fort haut qui ne posa que peux de soucis pour l'atterissage non loin du site de décollage. La jeune tora par reflexe, sauta en arrière en voyant que le cyborg était trop prêt du bord, elle fit deux saut périlleux en arrière et attéirt en souplesse sur ses jambes. Toute fois la force de l'impact était si fort qu'elle perdit l'équilibre et tomba sur ses pattes avant manque de très peux de ce cogner la tête sur les tuiles du toit.

Elle souffla et vit Amerigo ranger ses goupilles, tout deux ce fixaient lorsque soudain il lui dit :

"Alors
? Comment as-tu trouver le voyage ? J'ai encore du mal à doser la
puissance pour sauter moins haut mais avec quelques autres essais ça
devrait marcher comme sur des roulette."

La kemono habituée a ce genre d'acrobatie était toute fois surprise de s'être presque ratée sur l'aterissage.

"Magnifique l'état d'apesanteur la haut, je men souviendrait toute ma vie Ame-chan merci infiniement, l'atérissage était lui aussi fort rigolo mais.......si tu t'entreines et que tu visites d'autre cieux, j'aimerais bien participer a tes tests de sauts moi..."

La kemono ne dit plus rien le souffle couper, devant eux ce dress la cité, ils voyait une bonne parti de la ville du haut de leurs perchoir, la vue plus énormement à la jeune fille. Amerigo fit de même s'emerveillant de la place du marché, de la place résidentiel, Amerigo soudain braqua son doigt dans le champs de vision de Zohra pour lui montrer le port. Il déclara
"Allons là bas, on trouvera peut être un bateau pour nous faire quitter cette île démoniaque."

Zohra étant une démone était pas fière d'entendre cette ile qualifié de "démoniaque" mais elle ce réjouit de savoir qu'Amerigo avait prévus de prendre la voie maritime, elle lui dit

"CHoUETTE! l'eau est un de mes élèments comme toi apparement pas vrai? j'aime cette éllément! ho oui vite allons vers le port!!!!! mais nous devons trouver un moyen de quitter ce toit, sans doute que notre attérissage a éveillé les soupcons des gens occupant ce toit.... nous ne devrions pas trop trainer içi, nous avons que trop tarder devant cette vue, VITE!!!"

Zohra de ses fines oreilles, crus entendre des bruit de pas précipités mais elle n'été pas sur et certaine, par mesure de précotion elle commenca alors a courir sur le toit d'a coté pour s'y cacher espérant qu'Amerigo la suivrait, d'un autre coté, l'atterissage avait démolis une parti du toit, si son imagination ne jouait pas des tours et que des personnes s'approchent par içi, ils chercheront peux etre qui a déomlis le toit.

Après avoir vu les dégâts causés par son atterrissage, Amerigo se tourna vers sa nouvelle assistante. Cette dernière semblait plus que ravie de son saut, elle avait même lâché un ronronnement bien bruyant lors du vol. Elle était aussi euphorique à l'idée d'aller sur l'eau. Tout ceci se faisait s'interroger le cyborg sur le comportement de la jeune kemono. Il fallait dire que, pour lui, un nuage n'était autre que des micros gouttelettes d'eau en suspension et la mer était plus un moyen de s'échapper plutôt qu'une dimension poétique. Quand Zohra le prévint que peut être des hommes viendraient vérifier quelle était l'origine de la destruction du toit. Il la suivit mais au lieu de se cacher avec elle, il déclara :

"On a plus le temps de jouer à cache-cache avec les autorités. Dépêchons-nous de rejoindre le port en passant par les toits. En tant que Tora, tu ne devrais pas avoir de problèmes."

Sur ces mots, le scientifique arriva au bord d'un toit. Il sauta assez facilement sur la toiture voisine grâce à la puissance de ses jambes mécaniques. Cependant, lorsqu'il atterrit, il sentit une légère douleur le prendre à l'épaule. En posant sa main dessus, il comprit tout de suite que l'un de ses os commençait à faire des siennes. Il pensa alors :

*C'est pas le moment, c'est vraiment pas le moment de faire ça, espèce d'omoplate fou !*

Alors que la souffrance était de plus en plus intense, Amerigo respira un grand coup. Il prit ensuite une tête neutre, comme s'il ne se passait rien dans son organisme. Il ne voulait pas que la jeune kemono s'inquiète pour lui, il voulait qu'elle reste concentrée sur leur évasion de cette île. Il attendit que Zohra arrive à son tour sur le toit pour lui mettre la main sur l'épaule et il lui dit d'une voix rassurante et autoritaire :

"Passe devant jusqu'au port, va à ton rythme, ne te retourne pas et ne te préoccupe pas de moi avant d'être arrivé au port, allez."

Afin de pousser sa nouvelle assistante à partir, il lui mit une main au fesses et la poussa vers l'avant. Ensuite, il prit une grand inspiration et serra les dents avant se mettre à courir en direction de leur porte de sortie. Durant le voyage de toit en toit, la douleur augmentait de plus en plus. Chaque saut, chaque pas, chaque mouvement devenait une épreuve entre le cyborg et son corps biologique. Apparemment, son omoplate droit était entrain de pousser vers deux côtés. Le premier vers l'extérieur du corps d'Amerigo, emportant lentement les muscles de son épaule. Le second côté était entrain de pousser vers l'intérieur de l'organisme, poussant les côtes se mettant sur son passage.
Après un calvaire de plusieurs minutes, il arriva enfin au près de la jeune kemono. Cette fois-ci, le rictus de souffrance sur son visage ne trompait plus. Il posa ses mains sur ses cuisses pour reprendre son souffle. Puis, il se revela et regarda les bateaux posté sur les quais et il déclara en souriant mais avec difficulté :

"Bien maintenant... il suffit de trouver un navire qui quitte l'île dans les prochaines minutes, il faut se dépêcher avant que la police ne décide de contrôler le port..."

Alors qu'il semblait vouloir continuer à parler, il sentit une intense douleur dans le dos. Son omoplate avait, tel un poignard, poussé rapidement et perforé sa chair. Prit par cette intolérable souffrance, Amerigo toussa du sang et s'évanouit. Cependant, il était si proche du bord du toit qu'il tomba et atterrit violemment sur des sacs d'épices entreposé plus bas.

Zohra vit dns les yeux d'Amerigo qu'il ce rendit compte des dégats causé, mais ce qui la décevait un peux c'était qu'il ne semblait pas partager son euphorie pour aller sur la mer, elle aurait bien aimée que son compagnion sois plus enthousiste.

Lassée de son attitude peux "vivace" elle décida de détourner son attention.

Il semble trop aimer ce qui est "scientifique" je suppose que pour lui une vis est plus beau qu'un coucher de soleil.... alors quand il fait son obcédé c'est la facon don mon corp fonctionne qui l'excite? qu'elle personnage étonnant et troublant......

C'est a ce moment précis que des sons ce produisait au dessous d'eux juste en bas de l'escalier de service qui menait au toit, quand Zohra en averti Amerigo et lui fit pars de son plan, ce dernier sans aucune surprise contredisa encore une fois la Tora qui d'un coté n'en été pas fachée elle, elle était une femme de terrain, agir vant de réfléchir, avec Amerigo tout ses principes était inversés. Alors qu'elle, elle voulais ce cacher pour mieux frapper, lui, décida d'un meilleur plan.

"On
a plus le temps de jouer à cache-cache avec les autorités.
Dépêchons-nous de rejoindre le port en passant par les toits. En tant
que Tora, tu ne devrais pas avoir de problèmes."

Zohra intriguée ce dit

"Pourquoi pas, c'est vrai que je n'ai eu a peine que une demi heure pour souffler, si ca continue comme ca je vais devoir me siffler une deuxieme bouteille ca serais plus que génant..... il a raison je dois économiser mon mana....."

Elle décida finalement de ce lever et de suivre son ami dans leurs fuites par les toits. Elle vit le scientifique ce remettre a voller dans un saut magistral, le toit était quand même loin, cherchant a droite et à gauche ne trouvant pas d'issus sauf un poteau electrique ce trouvant non loin d'içi, elle prend alors son élan, saute, et l'atteint de justesse.

Alors qu'elle commence l'assention du poteau, elle entendit des voix non loin d'elle qui ce rapprochait, soudain elle entendit

"HEY, TOI, DESCEND DE LA REVIENS OU ON FAIT FEU!!!!"

Comme unique réponse elle fit un grognement très puissant et continua son assenstion

"feu, FEU!!!!"

Elle ce dit que ce devait être le toit d'un batiment administratif pour qu'elle puisse ce faire tirer dessus par les forces de l'ordres. La féline décida d'utiliser un peu plus de mana pour bander ses muscles au dela de leurs capacités normal pour accélléré sa course, Senteant soudain une brulure au bras, elle su qu'elle avait été touchée mais ne perdant pas courage elle arriva au dessus du poteau electrique qui était par chance bien plus haut que le toit qu'Amerigo lui n'avait eu aucun mal a sauter. Elle sauta a son tour sur le toit et fit deux roulades avant pour amortir le choc.

Finalement Zohra approcha d'Amerigo le voyant porté la main a son epaule, elle ce dit

"Ho merde lui aussi sait fait touché."

A peine était t'elle arrivée a sa hauteur pour lui demander si tout allait bien qu'ill lui dit d'une voix
rassurante et autoritaire:

"Passe devant
jusqu'au port, va à ton rythme, ne te retourne pas et ne te préoccupe
pas de moi avant d'être arrivé au port, allez."

Zohra recut une claque au fesses qui la fit sursautée et poussé par Amerigo, elle ce remit a courir sans poser plus de question, elle s'inquiétait tout de même pour lui et trouvait cela étrange qu'elle le distancait avec une si grande et étonnante facilité.

Zohra sauta sur des toits, fit quelques roulades, fit des sauts gigantesques dans le vide déployant ses bras pour se récupérer parfois de justesse, arrivant a une certaine distance, elle préfèra tout de même attendre Amerigo. En attendant, elle vérifia son bras, une balle l'avait effectivement touchée mais par une chance incroyable l'avait juste érraflée, elle vit sa chaire blanche a nue où du pellage a été arraché. Elle ce mit alors a lécher son bras, peux à peux ca chaire ce reconstitua mais les poils arrachées n'aait pas repousées.

Quand le scientifique arriva, elle vit que quelque chose lui faisait mal il dit avec difficulté:

"Bien maintenant... il
suffit de trouver un navire qui quitte l'île dans les prochaines
minutes, il faut se dépêcher avant que la police ne décide de contrôler
le port..."

Croyant qu'il voulaitp as montré sa souffrance par fièreté, elle préféra faire comme si de rien était, et ne pas lui montrer son don de guérison, aprés tout elle ne le connaissait que depuis quelques heures. Ses atouchements lui montra en plus qu'Amerigo semblait cherché plus qu'une assisstante.

Zohra vit soudain que l'homme ce mit a tousser fortement et perdre connaissance en tombant sur un sac d'épice. Zohra ce mit a crier

"AMERIGOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO-CHAAAAAAAAAAAAAA
AAAAAAAAAANNNNNNNNNNNN!!!!!!!!"

Prenant son courage a deux mains elle sauta non pas sur le dernier toit mais sur l'échelle de soucours plus bas, elle ce fit assez mal mais n'y préta pas attention descendant d'un trait les quelques marches pour arrivé en bas. Un homme, probablement le propriétaire du sac d'épice pris peur en voyant la kemono surgir, probablement pensait t'il que c'est elle qui a jetée Amerigo du tout et qu'elle venait finir le travail.

Zohra ne pris pas la peine de mettre se géneur hors d'état de nuir et le laissa courir probablement appeller les autorités, sa priorité absolue était Amerigo, le pauvre homme était inconscient et c'etait peux etre mieux ainsi car l'épice couvrant ses blessures devait le bruler atrocement, peux etre meme que ca lui cotoriserai la plais.

La Kemono ce doutant qu'il devait avoir des laisons interne ce morda la langue pour sécréter beaucoup de salive, sans patience elle n'hésita pas a se faire mal a la langue pour accéléré le procésus. Une fois ca bouche pleinse de salive, Elle ouvrit la bouche de l'homme inconcient et lui versa toute sa salive dans sa bouche.

"BOIS Amerigo-chan, BOIS ma salive, si tu veux vivre, allez bois ma salive!!!! ca réparera les dégats dans ton ventre"

En attendant que sa salive fasse effet, Zohra lui lécha le visage buvant le sang d'Amerigo, elle senti le mana que contenait le sang couler en elle, elle avait busce genre de mana que dans de rares ocasions. Elle remarqua soudain que l'épice, du cury d'aprés la couleur jaune ce teintait de rouge, elle pris Amerigo, le bouga avec difficulté et constata qu'un objet l'avait bléssé devant et dérrière son épaule.

Elle ce mit a lors a lui lécher le dos, de temps en temps elle pris sa fiole vide et crachait dedans pour concervé le mana d'Amerigo au cas ou elle en aurait besoin. Le dos d'Amerigo ne saignait plus au bout de dix minutes mais la plais n'était pas encore guerrit, la Kemono préféra tout de même guerrir la plais de devant, elle ce remis alors a lécher le cyborg, elle n'avait plus faim de mana et pourtant elel ce forca a en ingurgiter encore et toujours plus, sa fiole en débordait.

Elle attendit que la plait ne sois pas plus grande qu'un gold pour arrété, elle reposa Amerigo dans l'épice rougie et le giffla plusieurs fois au visage

"Debout Amerigo, reveil toi paresseux!!!! aller debout!!! bouge toi, répond ALLER BOUUUUUUUUUUUUGE!!!!"

"HAAAAAAALLLLLLLLTE!!!! écarte toi de ta victime!!!"

Zohra regardait l'homme qui venait de crier, elle crus reconnaitre l'homme au pistolet sur les toits.

"Halte, je n'ai jamais l'habitude de rater ma cible deux fois, je ne sais pas comment tu t'en ai sorti la première fois mais cette fois ci t'a finalement réussi a l'avoir ton cyborg... mais moi tu ne m'aura pas salle...."

Zohra n'attendit pas la fin de la phrase de l'homme pour agir, elle courus avec une rapidité qu'elle n'avait encore jamais vue, le sang d'Amerigo l'avait rendut plus vivace que jamais elle courrut sur un mur, rebondit en ricochant pour tomber sur un des policiers accompagnant l'homme au pistolet en plein visage. Quand elle retomba, elle fit une balayette au second.

Tout allait si vite qu'elle avait l'impression que son corp agissait plus vite que son cerveau et pris les décisions a sa place. Trés vite tout les hommes était à terre. Sauf un dans le fond qu'il semblait prendre peur, elle pris alors l'un de ses couteaux de lancer pour le planter dans la cuisse de l'agent qui tomba a terre en ce tordant de douleur, elle pris son second couteau de lancer et le lanca sur l'homme au pistolet qui semblait avoir la faculter de ce téléporter il évita un premier couteau qui alla ce planté non loin d' Amerigo.

La fauve histérique sortie sa hache et chargea l'homme qui encore une fois semblait ce téléporter cette fois sous elle et lui envoya un gros coup de pied dans l'estomac, Zohra recula en ce tenant le ventre et tomba a tere. L'homme avait encore dissparus et réapparut cette fois avec son pistolet braqué sur le fonrt de la Kemono.

"A tu une requete avant de mourir? Demone?

"QUOI?"

L'homme désigniait le soutien gorge de la Kemono, pour une raison qui l'échapait, son soutien gorge avait été arrachée métant a nue sa poitrine saillante et surtout ses ailes prunes. Zohra ce couvrit alors la poitrine en enlacant ses genoux avis tout de même d'avoir gardé sa jupe. Elle le fixait d'un drole d'air, l'homme ne dit qu'une chose comme si il lisait dans son esprit.

"Je suis un mage BLANC, exorciste, avec la faculté de stopper le temps, mon boulot est d'radiquer ceux de ton espece, démone..... même sans ma faculté tu été perdu de toute magnière, quand tu charges tu as tendence a trop te pencher vers la droite, sa te fragilise..... tu devrais y pensé quand tu te réincarnera , si la réincarnation existe......Dit adieu a la vie chienne!!!!"

La kémono ce demanda qu'est ce qu'un exorciste faisait içi et surtout déguisé en policier, elle ce demanda encore mille et une questions mais elle n'aurait jamais l'ocasion de les poser. Elle vts alors l'homme faire tourner le barillet de son arme en enclenchant le chien près a faire feu, elle avait encore un couteau de lancer dans ca ceinture mais elle ne savait pas comment pouvoir distraire l'homme. Elle fixa alors le bout d'un pied d'Amerigo, elle ce dit qu'elle n'avait pas réussi a le sauver ou alors l'homme en question en ralentissant le temps la peux etre achevé, Zohra ce mit alors a pleurer, c'était apparement la fin pour elle et pour le scientifique.

Après avoir une chute de plusieurs étages sur un tas de sacs d'épices, Amerigo croyait rêver. Alors qu'il pensait nager dans un océan de curry et qu'un dragon s'amusait à lui brûler l'épaule, il sentit des mains lui ouvrirent la bouche. Il eut ensuite un liquide lui couler directement dans la bouche. Malgré son état, le cyborg reconnu tout de suite le liquide comme étant de la salive. Son doux parfum fruité lui fit tout de suite penser à de la bave féminine. Amerigo était ravi qu'une femme lui bave dessus et il fit connaître sa satisfaction en décrochant un grand sourire.

Après ça, il se sentit déplacé. Puis, une langue qu'il avait identifié comme mi-féline, mi-humaine se posa sur ses plaies. Tout d'abord, il pensait rêver. Il pensait être transporté sur un tapis de femmes nues qui n'en voulait qu'à son corps. Mais cette douce excitante sensation changea du tout au tout. Comme si un vampire s'amusait à lui prendre toute son sang, le vidant de la quasi totalité de son énergie. Par réaction de défense de son organisme, Amerigo prit une position fœtal sur les grains rougis de curry. C'est alors qu'il fut secoué comme un prunier et se crier dessus par une voix familière :

"Debout Amerigo, reveil toi paresseux!!!! aller debout!!! bouge toi, répond ALLER BOUUUUUUUUUUUUGE!!!!"

"HAAAAAAALLLLLLLLTE!!!! écarte toi de ta victime!!!"

Ces paroles frappa les tympans du scientifique comme un bélier défonçant une porte blindée, à moins que se soit la série de baffe qu'il avait reçu. Une fois les bruits ayant fait trois fois le tour de son cerveau, le cyborg ouvrit les yeux. Il découvrit alors sa nouvelle assistante entrain de se battre contre deux hommes faisant sûrement parti des autorités du Jigoku. Alors qu'elle semblait se défaire facilement du premier, le second lui posait d'avantages de difficulté. Les yeux à moitié clos, il eut du mal à croire que l'homme avait disparu et réapparu pour éviter l'attaque de la jeune kemono. Cette dernière lança donc un couteau dans sa direction, cependant il disparut encore et le projectile alla se planter juste à côté d'Amerigo, le réveillant pour de bon cette fois.

Pendant ce temps, la bataille continuait et tournait à l'avantage de l'homme. Il mit en joue Zohra et lui fit remarquer qu'elle n'avait plus de soutien gorge. Détail que Amerigo remarqua tout de suite. Il était en admiration devant la poitrine de la jeune Tora. Pour lui, les choses plus belle qu'un mécanisme ou un couché de soleil étaient les formes d'un corps de femme nue. Il pouvait rester des heures, voire des jours à admirer une poitrine ou une paire de fesses appartenant à de jolies jeunes femmes. Inutile de dire que la vue qu'il avait le comblait. C'est alors qu'il entendit l'ennemi de Zohra déclara :

"Je suis un mage BLANC, exorciste, avec la faculté de stopper le temps, mon boulot est d'éradiquer ceux de ton espèce, démone..... même sans ma faculté tu été perdu de toute manière, quand tu charges tu as tendance a trop te pencher vers la droite, sa te fragilise..... tu devrais y pensé quand tu te réincarnera , si la réincarnation existe......Dit adieu a la vie chienne!!!!"

C'était donc un mage blanc, un chasseur en plus. Profitant du fait qu'il avait l'air obnubilé par le fait de tuer une kemono, Amerigo se leva difficilement, décrocha le couteau de la jeune femme de son mur. Il se mit ensuite debout et le cacha avant d'enlever sa veste maculée de sang. Bien sûr, le mage blanc finit par remarquer le scientifique et lui dit d'une voix rassurante :

"N'ayez craintes monsieur, je tiens ce monstre en respect."
"Merci mon ami." Répondit difficilement le cyborg. "Ne lui faites pas de cadeau à cette garce."

Alors que le mage blanc se sentit motiver par ses paroles, il laissa Amerigo se mettre derrière lui avant de tirer. Mais au moment de mettre un terme à la vie de Zohra, il sentit une lame froide se planter dans son dos, puis il entendit la voix du scientifique :

"Au lieu de donner des leçons à cette beauté, tu ferais mieux de surveiller tes arrières. Vois-tu je viens de te planter un couteau entre deux vertèbres. Il est positionné de telle façon que le moindre mouvement de la lame sectionnera ta colonne vertébral, te paralysant au minimum les jambes. Alors même ton pouvoir ne te sert à rien puisque le moindre mouvement de ta part te condamnera. Comment oses-tu faire pleurer une femme ?"
"En...enfoiré."

Sur ces mots, le cyborg força le chasseur à jeter son arme au loin. Il tendit ensuite sa veste à la jeune kemono avec un petit sourire rassurant :

"Tiens couvre-toi ou tu va attraper froid. Une fois que tu seras habillée tu pourra faire ce que tu veux de lui."

Zohra avait toujoursl es yeux fermée attendant
sa fin, elle ne pleura pas attendant tout simplement sa fin en position
de méditation. Grace a ses oreilles de Kemono, elle entendit un objet
gratter contre le mur dérrière l'homme, quand elle regarda la chaussure
d'Amerigo, celle ci avait dusparus, elle en conclus qu'Amerigo s'en
était tiré finalement.

Interieuremnt la jeune femme jubillait de
le savoir en vie, elle entendit alors très netement Amerigo jeter son
blouson sanglant a terreet ce fit entendre. Le chef tout en gardant en
joue la kemono le fixa et lui dit d'un ton rassuré

"N'ayez craintes monsieur, je tiens ce monstre en respect."
"Merci mon ami." Répondit difficilement le cyborg. "Ne lui faites pas de cadeau à cette garce."

Acceptant
le paroles du mage avec un grand sourire, l'homme ce positionna devant
la kemono et appuya encore plus fort le cannon du pistolet sur le front
de la femme il s'appréta a lui dire sans doute un dernier adieux mais
au moment de mettre un
terme à la vie de Zohra, il sentit la pointe du couteau de lancer de la femme se planter dans son
dos, puis il entendit la voix du scientifique :

"Au
lieu de donner des leçons à cette beauté, tu ferais mieux de surveiller
tes arrières. Vois-tu je viens de te planter un couteau entre deux
vertèbres. Il est positionné de telle façon que le moindre mouvement de
la lame sectionnera ta colonne vertébral, te paralysant au minimum les
jambes. Alors même ton pouvoir ne te sert à rien puisque le moindre
mouvement de ta part te condamnera. Comment oses-tu faire pleurer une
femme ?"
"En...enfoiré."
La femme jubila a terre mais n'osa pas se relevée pour ne pas dévoilée sa poitrine qu'elle n'oublia pas été mise a nue.

"Tiens couvre-toi ou tu va attraper froid. Une fois que tu seras habillée tu pourra faire ce que tu veux de lui."

"C'est que trop d'honneur"

Dit
simplement la kemono en enfilant la veste, voyant qu'elle ne pouvais
pas le fermé, elle prit son dernier couteau de lancer, et la planta
dans les deux extremités de la veste s'assurant que l'on ne voyait pas
sa poitrine, mais elle savais que ce n'étais que provisoire, la jeune
femme. Elle pris sa hache a deux lames, ce recula légèrement et ce mis
a courir vers l'homme.

Elle fit un bond térifiant et fit aller
au final sa hache comme une guillotine, sa maitrise parfaite de l'arme
lui permit de stopé son bras in extremis blessant l'homme sans le tuer.
Elle lui dit

"Sans Amerigo, je serait morte a
l'heure qui est, vous etes un grand guerrier, ce que l'on va faire, on
va vous relacher et nous nous séparerons, je n'ai pas le coeur
d'achevée un guerrier comme vous sans lui laisser la moindre chance de
survit ca serais vous manquer de respect et ca me jeterais dans une
disgrace trop grande, je ne supporterai pas le fait de vous vainccre
moi même et d'avoir gagner par lacheté surtout pareil combatant.

Donc
comme vous chassez les KEMONO je sais que nous nous reverrons, je veux
t'affronté a nouveau guerrier, et cette fois, CETTE FOIS, je te
vaincrais, Amergo, vous seriez trop aimable de le relacher et de me
rendre mon couteau."

Zohra arracha le couteau du crane de
l'homme a terre qu'elle avait tuée tout a l'heure,, avec celui d'Amerigo son compte de couteau de lancé
était au complet.Elle fixa le guerrier et frappa avec son poing dans sa propre paume de main et bascula en avant pour
saluer l'homme vaincu qui gisait inconscient.
"Amerigo
a bien fait de l'assomé, il nous génera pas comme ca, essperons qu'il a
pas prit cette histoire de "demon" au sérieux....."

Puis elle dit au scientifique
"Et
bien mon cher, me sauver la vie est devenu chose commune pour vous
HAHAHAHA..... je ferais ce que je peux pour payer également cette
dette."

Sans attendre de réponse, la jeune femme partais vers le port, ses trois couteau a sa jambe.

Alors que la kemono décida de laisser le chasseur en vie, Amerigo soupira. Encore un gars qui aller les poursuivre sans arrêt avec, en plus, un pouvoir quasiment impossible à contrer en un contre un. Le scientifique ne comprenait décidément pas les maître d'armes ou les combattants qui ne satisfont que de victoire en un contre un. Il les prenait pour des masochistes refoulés défendant des valeurs disparues comme l'honneur. Un regard aux alentours, Zohra assomma le mage blanc, le faisant s'écrouler sur le sol et, surtout, faisant bouger le couteau dans la plaie. Le cyborg la regarda désespéré, elle n'avait rien écouté à propos de la lame enfoncée dans la colonne vertébrale de son adversaire. Le moindre mouvement brusque la ferait bouger et paralyserait le mage. Inutile de dire que le coupe suivit de la chute suffirent pour que l'arme sectionne ce qu'il fallait. Ne voyant plus la peine de prendre de précaution, Amerigo sortit le couteau de la plaie sans lui dire que la prochaine fois qu'elle rencontrera le chasseur, il sera soit en fauteuil roulant, soit avec des mécaniques. Il vit la jeune femme partir ravi en disant :

"Et bien mon cher, me sauver la vie est devenu chose commune pour vous HAHAHAHA..... je ferais ce que je peux pour payer également cette dette."
"Ouais, ben commence par faire profile bas, tu es recherché je te rappel. Et si on ne veux pas être obligé de payer très chère pour quitter cette île, il serait mieux que tu reste derrière moi sans dire un mot."

Malheureusement, ses mots n'eurent pas l'air d'atteindre la kemono qui se dirigeait tout droit vers le port. Sentant une drôle de fatigue l'envahir, Amerigo bailla à s'en décrocher la mâchoire. C'est alors qu'une douleur le prit à l'épaule. Il regarda alors la source de cette souffrance et découvrit un trou dans son épaule. C'était le résultat de la croissance incontrôlable de ses os. Mais bizarrement, le trou semblait avoir rétrécit depuis la dernière fois qu'il avait vu, juste avant de tomber dans les épices. Se demandant ce qui avait put se passer, il se souvint, durant son passage dans l'inconscience, avoir sentit de la salive de femme dans sa bouche et des léchouilles, elles aussi féminine. Il regarda alors Zohra et il comprit que la salive devait lui appartenir. Rapidement, il se dirigea vers elle et la rattrapa en lui demandant :

"Dis-moi, t'as salive a-t-elle des vertu curatives ?"

Sans attendre la réponse, il ralentit ses pas et commença à fouiller dans sa sacoche. Il cherchait des bandages pour cacher le joli trou qui lui traversait l'épaule. Cependant, il trouva, en plus des bandages, de la poudre jaune partout dans son sac. Sans le savoir, il avait embarqué du curry en tombant du toit. Il voulut d'abord le jeter mais il se ravisa rapidement, le prix de cette épice dans les autres continents pouvait leur permettre de manger et dormir quelque temps. Il mit rapidement son bandage autour de son épaules et, avant de refermer sa réserve de curry, saisit un objet qu'il ne voulait pas voir détérioré par l'épice. C'était une simple photo de ses frères et lui. Tout en marchant et refermant sa sacoche, il regarda la photographie en poussant un soupir nostalgique. Ses trois frères lui manquait énormément, que ce soit Chris le "vieux", Marco le "bourrin" ou Jack le "blagueur". Ils étaient tous trois prisonniers des autorités du Jigoku. Pour les libérer, Amerigo devait réunir un nombre suffisant de plumes d'Hane pour Jigoku. Après quelques minutes à contempler la photo, il sortit de ses rêveries et dit à la jeune kemono :

"Bien, il faut qu'on trouve un bateau de marchandise se dirigeant à Kishima. Vu qu'ils sont en guerre avec Jigoku, il y aura moins de problème pour des fugitifs comme nous. Allons-y !"

Sur ces mots, Amerigo se partit à la recherche du navire providentiel.

Le sang que contenait l'arme était remplis de mana, preuve que la victime était un puissant mage blanc, Zohra s'en régala avec un ronronnement de pure plaisir, elle lécha sa dague de lancé comme si il sagissait la de satisfaire un partenaire sexuelle, quand sa langue ne caressa plus que la lame, elle le rangea puis commenca a partir en disant[/color]:

"Et
bien mon cher, me sauver la vie est devenu chose commune pour vous
HAHAHAHA..... je ferais ce que je peux pour payer également cette
dette."

A peine elle avait fait plusieurs pas que l'homme lui dit

"Ouais, ben commence par faire
profile bas, tu es recherché je te rappel. Et si on ne veux pas être
obligé de payer très chère pour quitter cette île, il serait mieux que
tu reste derrière moi sans dire un mot."

La kemono fit une moue pleine d'intérogation en penchant son visage sur le coté, comme le ferais un animal intrigué puis elle dit

"C'est toi qui vois, mais je sis impatiente de quitter cette région BRRRRR sinon je vois pas pourquoi tu me dit ca, entre nous moi j'ai rien a me reprochée, tu commences a être véxant mon cher professeur...."

A peine sais t'elle arrétée pour attendre son compagnon qui semblait vraiment impatient d'ouvrir la marche, elle fut soudainement amusée en regardant Amerigo
qui encore loin d'elle bailla à s'en décrocher la mâchoire.

Elle arréta de rire quand elle le vit ce tenir l'épaule, elle regarda avec inquiétude le scientifique, elle ce demanda si cet os étrange lui jouait encore des tours. Rapidement, il se dirigea vers elle la faisant sursauter, l'homme n'ala pas par quatre chemins et lui demanda:

"Dis-moi, t'as salive a-t-elle des vertu curatives ?"

Elle ce demanda pourquoi il lui a dmeandé cela car il n'écouta même pas de réponse, il fouilla dans ses affaires. Il cherchait des bandages pour cacher le joli trou qui lui
traversait l'épaule, il mit rapidement son
bandage autour de son épaules, ce qui fit rire la jeune fille qui le regarda alors avec de grand yeux amusées, il semblait en effet être fou de joie d'avoir trouvé cette étrange poudre jaune dans ses affaires.

Elle regarda alors par dessus son epaule, Amerigo saisit un objet, une simple photo de ses frères et lui. La kemono brisa alors se sillence lourd et pesant, elle laissa tombé ses oreilles qui lui donna alors un genre désolé et elle lui dit d'un air qui trahissait un début de frustration:

"C'est mal élevé d'ignioré les gens..... mais ma salie a en ffet cette faculté, ou dumoins c'est plus complexe que cela.... disons que je peux choisir de rendre ma salive curative ou non.... contrairement a votre sang qui emprisonne le mana, je ne peux pas t'offrir de flacons de ma salive qui garde ses vertues curatives que pendant un court instant heu je....."

La fille arréta la son monologue observant Amerigo qui avait les yeux toujours fixé sur la photo, il sortit de ses rêveries
et dit à la jeune kemono :

"Bien, il faut
qu'on trouve un bateau de marchandise se dirigeant à Kishima. Vu qu'ils
sont en guerre avec Jigoku, il y aura moins de problème pour des
fugitifs comme nous. Allons-y !"

Sur ces mots, Amerigo se partit à la recherche du navire providentiel. La kemono le regarda eberluée, elle ce demanda si il avait prété la moindre importance a ce qu'elle avait dit. Elle ce dit:

"De plus si il m'avait laissée continuer, je lui aurais léché sa plaie, sa bléssure aurait encore rétrécit.... enfin bon si il préfère gardé ce bandage encombrant sur lui.... au moins il es assez aimable pour ne pas me demandée d'épuiser ma reserve de mana.... enfin bon, mais qui était ce sur sa photo?"

Zohra préféra garder pour plutard sa question, elle huma a plein poumoin l'air marrin qui emplissait les ruelles ultime quand soudain le soleil lui brula légèrement les yeux, elle détourna la tête et entendit soudain les mouettes, son odorat lui offrit une air purement et simplement iodé, c'etait si bon, Zohra aimait énormement l'air marin, elle senti sa joie de vivre bondir de nouveau dans sa poitrine et ce mit a ronronner de plus en plus prés de l'homme et poussa un petit miaulement de satisfaction freinant in extremis un cris de bonheur qui était prés a gronder dans sa gorge. Elle avait tellement hate de pouvoir quitter cette ile sordide et de voyager sur la mer.

Tout en regardant à droite et à gauche, longeant le port de bout en bout pour trouver son passeport pour s'échapper de cette île, Amerigo se sentait bien fatigué. Il se rappela alors des paroles que sa nouvelle assistance. Tout d'abord, le fait qu'elle ne comprenne pas pourquoi elle devait faire profil bas. Pourtant la discrétion n'était pas son fort, comme le grognement qu'elle poussé dans l'impasse un peu plus tôt dans leur fuite. Ensuite, elle expliqua les vertu curative de sa bave, même si là, le cyborg n'écoutait pas vraiment. C'était un spécialiste en mécanique, alors la médecine et la biologie n'était pas vraiment son truc. A vrai dire, il était entrain de réfléchir à tout autre chose. Il se retourna vers la jeune kemono, posa ses mains sur la poitrine de Zohra et déclara :

"Et si on avait un petit code entre nous, à titre préventif. Chaque fois que tu diras ou feras une bêtise, je te peloterai vigoureusement la poitrine comme ceci. Ça sera une façon élégante et discrète de te signaler que tu en fais un peu trop."

Sur ces mots, il retira ses mains et se retourna. Il espérait que le dégoût de se faire tripoter par un cyborg calme son assistance. Elle avança alors vers les quai en ronronnant et en se dandinant de bonheur, comme si l'éventualité d'un voyage en mer la ravissait. Amerigo la regarda alors et il tilta sur quelque chose de pourtant évident. Zohra était une femme, une belle femme qui plus est. C'est alors que son corps se rappela qu'elle l'avait sûrement léché, qu'il lui avait touché la poitrine et d'autres choses dans le genre. Et bien sûr, tous ses souvenirs le firent réagir comme tout homme à qu'il arrive se genre de chose. Il resta immobile en fixant le déhanché de la jeune kemono. La bouche grande ouverte, il se demandait comment il ne l'avait pas remarqué plutôt. Tout à coup, il sentit son pantalon le serrer de plus en plus, à moins que... Le scientifique baissa rapidement la tête et découvrit quelque chose de gênant dans cette situation : un mokkori comme dirait un célèbre chasseur des villes. A toute vitesse, Amerigo alla s'asseoir sur une caisse posée sur le bord du quai. Il croisa les branches et posa ses bras sur la protubérance déformant son pantalon. Il regarda ensuite Zohra et lui dit avec un sourire gêné :

"Continue à chercher un bateau sans moi un petit instant, je te rejoins très vite."

Continuant à sourire bêtement, il se tourna vers la mer et ferma les yeux. Ce n'était vraiment pas le bon moment pour que cela arrive. Il devait se dépêcher de penser à autre chose.